Exit Pérou, et bâtir l'agriculture de demain

Bonjour;

finalement, ma fille est revenue du Pérou en un seul morceau. J'espère que sa soif d'aventure est étanchée pour un bon bout de temps. Car des aventures, elle en a eu. Une bonne dose à part ça. Si jamais elle en parle sur son blogue, je vous le dirai. Pour le moment, elle décante tou cela, avec une certaine philosophie.

Pour faire suite à mes dénonciations du le monopole de l'UPA en agriculture au Québec, j'ai appris une bonne dans le journal du 11 janvier. Le président de la Commission sur l'avenir de l'agriculture et de l'agroalimentaire québécois (CAAAQ) vient de faire paraître son document de consultation intitulé: Agriculture et agroalimentaire: choisir l'avenir. On y apprend que la Commission ouvre grande la porte à une discussion sur le rôle de l'UPA. Elle rappelle qu'en Ontario, il existe une cotisation obligatoire. Toutefois, contrairement au Québec, les producteurs agricoles peuvent choisir de la payer à l'organisation agricole de leur choix parmi une liste.  Voilà certe une bonne nouvelle. Reste à savoir si la commission aura les reins assez solides pour résister à l'énorme pression que ne manqueront certainement pas d'exercer sur elle les pontes de ce monopole omnipotent.  C'est à suivre. Cette commission itinérante commencera ses consultation à la mi-février.

Enfin, grâce au temps froid des derniers jours, et à la neige qui a recommencé à tomber, j'ai pu m'adonner jeudi dernier à mon sport hivernal favori, le ski de fonds. Quel ravissement.

Je vous laisse en vous disant à bientôt.