Cabane à sucre

Bomjour;

youppi! Le printemps a des allures d'été, depuis hier.

Hier, nous avons enlevé notre portique, et continué de pelleter des cailloux. Sur cette photo,

vous apercevez un amas emballé dans une bâche brune, à gauche. C'est ce qui reste de notre table à patio. Elle était en verre, sur une armature d'acier. Malheureusement, le poids de la glace de de la neige l'a fait éclater en mille miettes. Quel gâchis à ramasser. Quand j'ai voulu prendre ma remorque pour aller m'en acheter une autre, nouvelle mauvaise surprise: un pneu de la remorque était complètement sorti de sa jante. Quand ça va mal, ça va mal, disait un quidam, naguère.

Aujourd'hui, je suis allé à la cabane à sucre avec ma «gang» de l'ARREP (association pour les retraités de l'enseignement privé).

C'est une belle cabane, dans un splendide décor, à Neuville.

Nous étions 24 vaillants et vaillantes prêts pour donner l'assaut à ces terribles gras trans et autres calories délétères. «À combattre sans péril, on triomphe sans gloire», n'est-ce pas. Et croyez-moi, l'ennemi était de taille. Jugez-en par vous même: soupe aux pois, oreilles de christ, jambon, patates frites, «beans», saucisses, omelettes, grand-pères dans le sirop d'érable, pain, beurre, salade, et le tout, à volonté. Et, pour couronner le tout, la fameuse tire sur la neige.

Cette activité s'est déroulée baignée d'une température de rêve. Sûrement autour de 18°.

Au retour, pour me permettre de dégérer ce gargantuesque repas, j'ai continuer à pelleter les maudits cailloux et autre saleté dégeulasse mélangés à la pelouse. Et pour terminer en beauté, j'ai changé la roue de ma remorque, non sans difficulté, car les boulons étaient rouillés. Mais enfin j'y suis parvenu.

Demain, ils annoncent de la pluie. Donc, journée de magasinage!